Le 22 novembre dernier, la propriété de François Hollande et de Julie Gayet, située dans le 20ème arrondissement de Paris, a été victime d'un cambriolage. Deux individus, âgés de 30 et 32 ans, ont été interpellés et se trouvent actuellement en détention provisoire.
Lors d'une interview accordée à RTL le 9 décembre, l'ancien président a confirmé que sa porte était laissée ouverte au moment des faits, car une personne était censée entrer dans la maison après leur départ. Il a précisé avec humour : "ma maison n'est pas un squat", en réaction aux déclarations des suspects, qui avaient argué que l'endroit ressemblait à un squat.
Hollande a également signalé sa responsabilité dans cette situation : "Il faut fermer sa porte et ne pas l'ouvrir à tout le monde, encore moins à des voleurs". Cette remarque n’est pas sans rappeler les préoccupations croissantes des Français concernant la sécurité à domicile. Selon une étude récente menée par l’INSEE, le sentiment d'insécurité a augmenté, avec une exaspération face à la montée des cambriolages en milieu urbain.
Des experts en sécurité suggèrent que la prévention est essentielle, et que les occupants de maisons doivent être vigilants, même dans des quartiers réputés sûrs. La sécurité domestique ne devrait jamais être négligée, déclarent-ils.
Le cambriolage de François Hollande soulève des questions sur la sécurité des personnalités publiques, mais aussi sur celle de chaque citoyen. En 2023, la vigilance face aux menaces potentielles demeure une nécessité dans toutes les strates de la société.







