Le 12 décembre, un fort séisme de magnitude 6,7 a secoué le nord-est du Japon, provoquant une alerte au tsunami émise par l'Agence Météorologique Japonaise (JMA). Ce tremblement de terre a été enregistré à 11 h 44, heure locale, et survient quelques jours après un séisme dévastateur de magnitude 7,5 qui a déjà laissé 50 personnes blessées dans la même région.
La JMA a initialement évalué la magnitud à 6,5, mais a rapidement révisé ce chiffre à la hausse. Selon les informations recueillies, des vagues de jusqu'à un mètre pourraient toucher les côtes pacifiques du pays. Les autorités locales exhortent les résidents des zones côtières à se rendre sur des terrains plus élevés par mesure de précaution.
Aucun rapport de dégâts matériels ou de victimes n'a été signalé jusqu'à présent. Les experts, comme le sismologue Kenji Satake, commentent que ces tremblements de terre dans la région sont fréquents en raison de sa situation sur la ceinture de feu du Pacifique. « Ce type de sismicité est à la fois une menace et une réalité pour les habitants de cette région », a-t-il souligné.
Les installations civiles et les infrastructures ont été mises à l'épreuve, mais la préparation du Japon face à des événements naturels de cette envergure pourrait minimiser les dommages. Des alertes ont été diffusées via les télécommunications, et les consignes de sécurité sont partagées sur de multiples plateformes.
Alors que les autorités continuent de surveiller la situation, la population est appelée à rester vigilante et à suivre les mises à jour des organismes officiels, tout en redoutant un éventuel tsunami. La dernière alerte rappelle les souvenirs de catastrophes précédentes, notamment le séisme de 2011 qui avait causé des ravages considérables.







