Dans la nuit du 8 au 9 décembre 2025, une agression a eu lieu dans un appartement à Guingamp, où une femme de 41 ans a porté deux coups de couteau à un homme de 36 ans. Cette violence a causé une interruption temporaire de travail de quinze jours, selon le parquet de Saint-Brieuc, qui a confirmé les faits à Ouest-France.
Les circonstances de l'attaque sont troublantes. La femme, clairement « très alcoolisée », a semble-t-il agi de manière impulsive. Un homme, âgé de 46 ans, qui s'est interposé pour protéger la victime, a également été blessé dans l'incident. Des témoins et des experts en criminologie se sont exprimés sur cette affaire, rappelant l'importance de lutter contre la violence domestique et la nécessité d'interventions précoces pour éviter que de telles situations ne se reproduisent.
« La violence sous toutes ses formes est inacceptable, surtout dans des lieux qui devraient être des refuges, comme nos domiciles », a commenté un expert en criminologie lors d'une interview sur la situation des violences domestiques en France. Ce cas illustre les défis auxquels les autorités sont confrontées pour endiguer une spirale de violence qui touche de nombreuses personnes.
La femme a été condamnée à une peine de prison ferme et a été immédiatement incarcérée après l'audience, marquant ainsi un tournant dans ce dossier préoccupant. Les autorités locales, tout en condamnant la violence, appellent à une sensibilisation accrue sur les conséquences des abus d'alcool et des violences conjugales. Ce type de délit laisse des séquelles indélébiles, non seulement aux victimes, mais aussi à l’ensemble de la société.
La situation à Guingamp n'est pas unique; elle fait écho à une problématique plus large en France, où les agressions au couteau sont en augmentation. Selon les statistiquespubliées par le ministère de l'Intérieur, les actes de violence impliquant des armes blanches sont en hausse, soulignant la nécessité d'une réponse appropriée de la part des services judiciaires et de la société civile.







