Alors que le Hamas ne doit plus que restituer le dernier otage, la dynamique de paix s'accélère à Gaza. Le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, a indiqué qu'une transition vers la seconde phase de l'accord de cessez-le-feu serait imminente, bien que les défis soient nombreux. Il a affirmé que la discussion portait sur la manière de mettre fin à l'autorité du Hamas dans la région.
Cette seconde phase repose sur des principes fondamentaux, notamment le désarmement du Hamas et un retrait progressif des forces israéliennes. Une autorité transitoire palestinienne est également prévue pour gérer la distribution de l'aide humanitaire et organiser la reconstruction, soulignant ainsi une volonté de voir un avenir apaisé à Gaza.
Le chancelier allemand, Friedrich Merz, présent lors de discussions avec Netanyahou, a également exprimé son soutien, rappelant l'importance d'une mission de paix solide. « Il est nécessaire que Gaza ne soit plus une menace pour Israël », a-t-il déclaré, tout en affirmant que l'Allemagne s'engageait à soutenir la reconstruction de la région.
Des experts en relations internationales estiment que ce plan pourrait, s'il est bien exécuté, ouvrir la voie à une paix durable. Selon une analyse récente du Monde, la clé du succès réside dans la gestion des attentes tant du côté israélien que palestinien, reforçant l'idée qu'une coopération étroite entre les acteurs régionaux est essentielle.
Dans un avenir proche, un déploiement de forces internationales pourrait également se dessiner, afin de soutenir cette période de transition. Tout cela survient dans un contexte où les tensions ont atteint des sommets, rendant l'issue de cette situation cruciale pour la stabilité au Moyen-Orient.







