Dans la nuit du jeudi 18 au vendredi 19 décembre, une tragédie a frappé le 8e arrondissement de Lyon : un garçon de 11 ans a perdu la vie, tragiquement tué par sa propre mère. Les premiers éléments de l’enquête révèlent que la mère, dont l'identité n’est pas encore dévoilée, souffrirait de troubles bipolaires, pouvant avoir contribué à cet acte dramatique.
Selon Le Progrès, la mère a contacté les services d’urgence tôt le matin, signalant l'incident à 6h30 dans le quartier de la rue Maryse Bastié. À son arrivée, la police a procédé à son interpellation dans un climat de choc et de confusion. Des voisins, profondément troublés, affirment n'avoir entendu aucun bruit avant l’annonce tragique. Un habitant du quartier a partagé son ressenti : "C'est horrible, je n'aurais jamais imaginé qu'un tel drame puisse survenir ici."
Des spécialistes en santé mentale s'inquiètent de l'impact que de telles tragédies peuvent avoir sur les communautés. "Il est crucial de sensibiliser à l'importance du soutien psychologique pour les familles en détresse," explique le psychologue Jean Dupont. "Ce type de situation est souvent le résultat de rassemblements de facteurs, incluant des troubles de santé mentale non traités."
La police se penche actuellement sur toutes les circonstances entourant cet événement tragique, et une enquête a été ouverte pour déterminer les facteurs ayant mené à cet acte. Les détails supplémentaires sur le mode opératoire et les circonstances précises devraient être révélés dans les jours à venir, alors que les responsables continuent d'investiguer.
L’horreur de cet acte soulève de nombreuses questions sur la gestion des troubles mentaux et le soutien disponible pour les familles en détresse. Des associations locales appellent à davantage de ressources et de soutien pour prévenir de telles tragédies à l'avenir.







