Une situation tragique s'est développée à Nîmes, où un jeune homme de 27 ans a confessé avoir mis fin aux jours de son père, un psychologue de 55 ans, porté disparu ces derniers jours. Son aveu a conduit les autorités à découvrir le corps de la victime dans le jardin de leur domicile familial.
Selon la procureure, Cécile Gensac, le fils a tenté d'éclaircir l'affaire en se présentant au commissariat, avouant être l'auteur du meurtre et ayant caché le corps. Le téléphone de la victime avait été retrouvé dans un caniveau, ajoutant une couche de mystère à cette affaire.
La découverte macabre a suscité une onde de choc non seulement à Nîmes, mais également au sein du département, d'autant plus que le défunt était fiché S et devait prochainement répondre devant la justice pour des accusations liées à l'apologie du terrorisme, notamment en raison de ses opinions controversées sur des sujets géopolitiques.
Les enquêteurs travaillent d'arrache-pied pour examiner les déclarations du fils tout en cherchant à comprendre le contexte de ce drame familial. Plusieurs sources, dont Le Parisien, relaient que le différend familial pourrait être à l'origine de cette tragédie, laissant place à de nombreuses spéculations.
Les criminologues et psychologues s'interrogent sur les motifs qui auraient pu pousser un fils à commettre un acte aussi violent à l'encontre de son père. Selon Jean-Pierre V. un expert en criminologie, "ce type de violence intra-familiale est souvent le résultat de tensions accumulées, mais peut aussi être exacerbé par des problèmes mentaux non traités".
Alors que le fils a été placé en garde à vue, les investigations continuent pour établir les circonstances exactes du meurtre, et les habitants de Nîmes sont en émoi face à cette triste réalité de la violence familiale.







