À Saujon, les pompiers montrent qu’ils n’ont pas peur de l’eau en réalisant un calendrier unique en collaboration avec la photographe aquatique Laura Payelle. Ce projet artistique, qui a eu lieu dans le cadre d’une initiative visant à mettre en avant le travail des sapeurs-pompiers, combine des images captivantes sous-marines et des moments humoristiques, témoignant de la camaraderie au sein du corps de secours.
Ludovic Ricordeau, président de l’Amicale des sapeurs-pompiers, partage son enthousiasme : "Cette aventure n’est pas seulement visuelle, elle revêt également une importance humaine. Plonger avec Laura Yel’Pa nous a permis d’explorer notre passion pour l’eau tout en offrant quelque chose de visuellement mémorable aux habitants de Saujon". Ayant reçu l’accord de la mairie, les pompiers ont dédié une demi-journée à ces séances aquatiques, créant ainsi des souvenirs qui marquent.
Les photographies capturées sont non seulement artistiques mais également porteuses de sens. "Ce calendrier est un hommage sincère à tous ces professionnels prêt à intervenir en toute circonstance", affirme Laura, qui, après plusieurs années de compétition en natation, apporte son expertise aquatique à cette œuvre. Selon des rapports de France Info, l’importance de telles initiatives permet de renforcer les liens entre la communauté et ceux qui veillent à sa sécurité.
En outre, le calendrier propose des éléments pratiques comme les horaires des marées et des activités locales, le rendant utile pour les familles. En 2024, le centre de secours de Saujon a enregistré une augmentation de 14 % d'interventions, illustrant l’importance croissante de l'engagement communautaire dans le domaine des services d’urgence. Les pompiers, toujours mobilisés, continuent à offrir leur aide, transformant des défis quotidiens en instants mémorables.
La distribution du calendrier a déjà commencé dans les communes entourant Saujon. Pour ceux qui souhaitent se procurer ce bijou artistique et significatif, l'Amicale des sapeurs-pompiers invite la population à se rendre à la caserne à partir du 1er janvier, dans la limite des stocks disponibles.







