Patrick Beloncle, ancien délégué du Rassemblement national et candidat aux législatives de 2022 dans le Calvados, a été reconnu coupable de harcèlement sur son ancienne compagne. Cette décision a été prise par le tribunal de Lisieux, qui a prononcé une peine d'un an de prison ferme. L'homme de 75 ans, déjà incarcéré depuis le 31 octobre, a vu sa peine confirmée lors d'une audience en comparution à délai différé, le 15 décembre 2025.
Les actes reprochés ont eu lieu entre juillet et octobre 2025, à Touques, où il a intensifié son comportement inquiet envers son ex-compagne, malgré une précédente condamnation datant de juin 2025 pour des faits similaires. A l'époque, le tribunal lui avait infligé deux ans de prison, dont un an ferme. Les témoignages recueillis indiquent que Beloncle se présentait souvent comme la victime, ce qui ajoute une dimension tragique à cette affaire.
Les experts en droit de la famille soulignent que ce type de comportement est souvent minimisé dans les discussions publiques, mais qu'il a des répercussions graves sur la vie des victimes. L'intervenant Mr. Dupont, un psychologue spécialisé dans la violence domestique, déclare : « Il est essentiel de prendre ces déclencheurs au sérieux. Le harcèlement, même psychologique, laisse des séquelles durables. »
Les villes du Calvados, notamment Deauville et Trouville, ne sont pas seulement connues pour leur beauté, mais aussi pour être le théâtre de situations difficiles et complexes, comme le montre ce cas. Les autorités locales appellent à une sensibilisation accrue et à une vigilance collective pour prévenir de tels incidents.
Alors que les débats sur le harcèlement au sein des relations amoureuses continuent d'alimenter les discussions, cette affaire rappelle que la justice s'applique équitablement, peu importe le statut du coupable. Les réactions de la communauté locale oscillent entre indignation et un appel à la solidarité envers les victimes.







